Laisser ses mains traduire ses sentiments est un véritable plaisir, nourris par des évènements et des choses simples, ordinaires comme des promenades en forêt ou en bord de mer. Tous les sens en éveils sont une nourriture pour l’esprit. A sept ans mes parents nous envoient mon frère et moi en centre de vacances à Piriac sur mer où naîtra la passion des coquillages et c’est dans les années quatre vingts, en ayant la forêt comme refuge moral que j’ai appris à l’observer et l’écouter.

Ramasser des boules et voir ces fruits suspendus dans les branches m’ont rapidement donné l’idée dans faire autant.